Ça faisait déjà un moment que cette région française me donnait envie, avec ses volcans majestueux et ses grands espaces verts. J’ai posé mes valises au Noemys Néris-les-Bains, un hôtel plein de charme qui allie confort et authenticité.
Entre balades pittoresques, visites culturelles et randonnées inoubliables, je vous emmène avec moi pour découvrir ce coin enchanteur de l’Auvergne.
Dès mon arrivée, j’ai été charmée par l’architecture Belle Époque, les thermes emblématiques et l’atmosphère apaisante de Néris-les-Bains qui a su préserver tout le charme de ses origines gallo-romaines. Dès mes premiers pas, je ressens une ambiance apaisante, comme si le temps s’était ralenti pour mieux me laisser apprécier ce que la ville a à offrir.
J’ai été séduite par l’accueil chaleureux de l’équipe et par ma chambre cosy et lumineuse, offrait une vue imprenable sur le Casino et le théâtre de cette charmante ville thermale. Un lieu idéal pour se ressourcer et profiter pleinement de l’atmosphère unique de Néris-les-Bains.
Après une journée de visite, je me suis laissée tenter par un bain thermal qui m’a plongée dans un état de relaxation absolue. Je commence par une visite des célèbres thermes Les Nériades qui se situent au cœur de la ville avec un espace de 1 000 m² dédié au bien-être. En m’y rendant, je croise des promeneurs, l’air détendu, preuve que cet endroit est une véritable invitation à la relaxation. Après avoir récupéré une serviette à l’entrée et avoir passé un maillot de bain dans les vestiaires, je me plonge dans les bassins intérieurs et extérieurs, où l’eau naturellement riche en lithium et magnésium est reconnue pour ses bienfaits thérapeutiques. Entre le sauna, le hammam et la tisanerie, je m’accorde une pause bien méritée pour évacuer le stress accumulé.
Néris-les-Bains, autrefois appelée Nerimagos en hommage au dieu des sources Nerios, nous offre un retour dans le passé fascinant. L’amphithéâtre gallo-romain se dresse encore fièrement, rappelant l’importance historique de la cité. Plus loin, l’église Saint-Georges et la nécropole mérovingienne et carolingienne ajoutent une touche d’histoire sacrée à ma balade.
L’église Saint-Georges en particulier avec son architecture romane et ses détails sculptés m’ont captivée, me donnant l’impression de remonter le temps.
Le soir venu, je suis surprise de voir de la vapeur s’échapper des bouches d’égouts, un spectacle étonnant qui rappelle la présence des sources chaudes souterraines. Le charme de la ville opère immédiatement, avec son calme incroyable et apaisant.
À quelques minutes de route, les villages de caractère autour de Néris-les-Bains offrent des escapades pittoresques parfaites pour les amateurs de patrimoine.
Pour cette deuxième journée, je décide de m’aventurer sur la voie verte qui emprunte une ancienne voie ferrée. C’est une piste cyclable de près de 6 km reliant Néris-les-Bains à Montluçon. Suivant les traces de l’ancienne ligne de chemin de fer, l’itinéraire quasi plat est idéal pour une sortie à vélo ou une randonnée paisible. La balade est ponctuée de paysages verdoyants et de petits cours d’eau, offrant une bouffée d’air frais en pleine nature.
Le chemin est tranquille, loin du bruit des voitures, et l’avantage d’être en Automne me procure le plaisir d’écouter le craquement des feuilles sous mes pieds.
Arrivée à Montluçon, l’appétit se faisant sentir, je me mets en tête de chercher un petit restaurant pour savourer un délicieux pâté de pommes de terre auvergnat, une spécialité locale incontournable. En flânant dans les rues, je suis charmée par les maisons à colombages qui témoignent du riche passé médiéval de la ville. Les ruelles pavées, bordées de petites boutiques d’artisans locaux, offrent une ambiance pittoresque et chaleureuse. C’est une étape parfaite pour découvrir le savoir-faire régional tout en s’immergeant dans l’atmosphère authentique de cette cité historique.
De retour à Néris-les-Bains, je décide de m’offrir une parenthèse plus culturelle en visitant le Casino, un bâtiment magnifique datant de la Belle Époque. L’intérieur raffiné et les dorures rappellent l’époque où la ville était le rendez-vous de l’élite française en quête de soins thermaux. Juste à côté, le théâtre offre une architecture somptueuse avec ses décors néo-classiques, un lieu à visiter même en dehors des représentations pour son ambiance unique.
Le matin suivant, après avoir pris un copieux petit déjeuner au Noemys Néris, je me prépare pour une journée d’exploration des alentours.
Pour débuter cette escapade, je prends la route en direction de Hérisson, une charmante cité médiévale. En chemin, je prends le temps d’admirer les paysages apaisants de l’Auvergne. Les prairies verdoyantes s’étendent à perte de vue, parsemées de vaches paisibles qui broutent. Ce spectacle simple, mais tellement apaisant, est l’un de mes favoris, et me plonge déjà dans une ambiance de sérénité avant même d’arriver à ma première étape.
Hérisson, un véritable joyau médiéval labellisé « Petite Cité de Caractère », se situe à seulement 30 minutes de mon hôtel.
Dès mon arrivée, je suis charmée par ce village pittoresque, marqué par les vestiges impressionnants de son ancien château, témoin silencieux des nombreux conflits qui ont traversé les siècles depuis la guerre de Cent Ans.
Après avoir pris le temps de capturer la rivière Aumance en photo, avec ses reflets apaisants, je traverse le village en flânant dans les ruelles pavées. Je passe sous la mythique Porte de la Varenne, surnommée « porte de l’enfer ». Une anecdote locale raconte qu’une Vierge fut placée ici pour protéger le village contre le mauvais œil, ce qui ne manque pas d’attiser ma curiosité.
Je continue mon exploration en remontant les ruelles vers l’église Notre-Dame, un édifice néo-gothique remarquable avec son escalier en fer à cheval. Enfin, j’atteins les vestiges du château, d’où l’on profite d’une vue imprenable sur le village et ses environs. Une véritable immersion dans le passé, agrémentée par les sourires des habitants qui se retrouvent dans les petits cafés pour partager des moments de convivialité.
Ensuite, j’ai pris la route en direction de la magnifique forêt de Tronçais, l’une des plus belles chênaies d’Europe. En chemin, je profite des paysages verdoyants qui défilent sous mes yeux, avant d’arriver à l’étang de Saint-Bonnet-Tronçais.
Le soleil était au rendez-vous, et l’endroit dégageait une sérénité apaisante. Je me suis installée sur les rives de l’étang, où je suis restée une bonne heure, simplement à profiter du calme ambiant. Les oiseaux migrateurs faisaient des allers-retours au-dessus de l’eau, offrant un spectacle naturel et apaisant, parfait pour se ressourcer. Un moment suspendu, loin de l’agitation, où la nature reprend ses droits.
Charroux, classé parmi les « Plus Beaux Villages de France », est célèbre pour son patrimoine exceptionnel et ses ruelles pavées.
Dès mon arrivée, le charme opère instantanément : ses ruelles pavées, ses maisons en pierre blonde et ses façades ornées de lierre donnent à ce village un cachet unique. On s’y sent transporté dans une autre époque.
En flânant, je croise de nombreux ateliers d’artisans et petites boutiques locales. La moutarde de Charroux, célèbre pour sa saveur authentique, attire mon attention. Une dégustation s’impose et je repars avec un pot pour prolonger l’expérience gustative à la maison.
Je poursuis ma visite par l’église Saint-Jean-Baptiste, au cœur du village. En levant les yeux, j’admire le clocher à peigne, typique de l’architecture auvergnate. Plus loin, la Tour de l’Horloge, vestige des anciennes fortifications, rappelle le passé médiéval de Charroux.
C’est un lieu idéal pour une promenade et pour savourer l’atmosphère d’un village au charme intemporel. Une halte incontournable lors d’une escapade en Auvergne.
Pour mon dernier jour d’exploration, j’ai décidé de me rendre au Puy de Dôme, l’un des sites les plus emblématiques d’Auvergne. En quittant l’hôtel, la route me dévoile des paysages automnaux à couper le souffle. Les arbres se parent de teintes flamboyantes, du rouge au doré, et la brume matinale ajoute une ambiance romantique à ce décor, donnant l’impression de traverser des paysages dignes des forêts canadiennes.
Je m’arrête un moment sur le pont de la Sioule pour admirer et photographier le Barrage de Queuille, véritable carte postale de la région. Cette pause me permet de profiter encore un peu plus de la quiétude du moment avant de reprendre la route vers le Puy de Dôme.
Arrivée sur le site, je choisis de monter à bord du train panoramique des Dômes, un choix idéal pour profiter de la montée sans effort tout en respectant l’environnement, car ce train à crémaillère est entièrement électrique et utilise plus de la moitié de l’énergie qu’il génère lors de la descente. Le trajet offre une vue imprenable sur les volcans d’Auvergne, malgré la brume qui enveloppe les paysages, ajoutant une atmosphère unique à l’expérience.
Au sommet, la brume est dense et la vue est malheureusement masquée. Cependant, je prends plaisir à explorer le temple de Mercure, le plus grand sanctuaire de montagne de la Gaule Romaine, impressionnant par ses dimensions et son histoire. Pour me réchauffer, je me rends dans le petit musée où j’assiste à un film passionnant sur la construction du temple et la formation du volcan, il y a plus de 11 000 ans.
En sortant du musée, je décide de redescendre à pied par le célèbre chemin des Chèvres. Ce sentier est réputé pour offrir des panoramas exceptionnels, et je ne veux pas manquer l’occasion d’immortaliser la beauté du paysage. Tandis que je m’éloigne progressivement de la brume dense qui enveloppe le sommet, les contours des volcans environnants se dévoilent peu à peu.
Les dunes de pelouse caractéristiques du Puy de Dôme, ondulant comme un océan de verdure, ajoutent une touche unique à ce site naturel. Je m’arrête régulièrement pour capturer ces instants, profitant du silence apaisant, seulement troublé par le souffle du vent. Cette descente à pied est une expérience immersive, un moment hors du temps qui me reconnecte pleinement avec la nature majestueuse de l’Auvergne.
La descente, qui dure environ 1h30, me fait traverser une variété de paysages. Le sentier me conduit dans une sublime forêt où les arbres, habillés de leurs plus belles teintes automnales, m’accueillent dans une explosion de couleurs : des jaunes éclatants, des rouges flamboyants et des orangés chaleureux.
Une fois arrivée au parking, je reprends la route en direction de Clermont-Ferrand. Mon objectif : ramener un peu d’Auvergne chez moi en m’arrêtant pour acheter des produits locaux emblématiques.
Dans les boutiques, je trouve mon bonheur : un généreux morceau de Saint-Nectaire, ce fromage au goût subtil et à la texture crémeuse qui fait la fierté du terroir. Je ne résiste pas non plus à l’appel d’une bonne portion d’aligot, ce mélange réconfortant de purée de pommes de terre et de tome fraîche, parfait pour une soirée cocooning. Pour finir sur une note sucrée, j’ajoute à mon panier une pompe aux pommes, une spécialité locale qui promet de clôturer ce séjour sur une douceur gourmande.
Ces petites emplettes sont une manière savoureuse de prolonger ce voyage et de partager un peu de cette belle région avec mes proches.
Chargée de mes précieux trésors gourmands, je reprends finalement la route en direction d’Aix-en-Provence. Avec des souvenirs plein la tête et de belles découvertes dans le cœur, ce séjour auvergnat s’achève sur une note douce et apaisante.
L’Auvergne m’a véritablement conquise par son authenticité et son charme, et je sais déjà que ce ne sera pas ma dernière visite dans cette région si riche et accueillante.
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